Dessiner…
Exprimer la Femme, la Vie, l’Amour
Ce que vous partagez avec nous…
« … La sérénité et le désir d’harmonie qui se dégagent de vos oeuvres sont particulièrement agréables à une époque où le stress ambiant est omniprésent ! Je pourrais presque dire que vos œuvres ont quelque part une valeur « thérapeutique ».
(commentaire sur le blog – 2007)
« Le dessin n’arrête pas sa magie à dire l’identité de ceux, celles qui le produisent. Car il nous est donné d’y entrer, de le vivre pour mieux nous (re)connaître. Car la magie du dessin ne s’arrête pas à la conjonction heureuse des données de l’œil, de l’esprit qui forme, du trait qui frissonne et du rythme qui entraîne. Le dessin est autre chose que ce qui le motive et plus que les effets cohérents qu’il ne propose. Le dessin, c’est aussi le geste qui porte au niveau le plus sensible ce que l’émotion première comportait de brutal et d’indifférencié et ce que la forme supposait de pensée et d’abstraction. »
(commentaire sur le blog – 2006)
« Délicieux moment celui où l’entrelacement des traits de l’artiste invite à la douce caresse des corps »
(commentaire sur le blog – 2007)
« Ce que je vois est près de cet amour absolu de l’éternel présent. »
(commentaire sur le blog – 2007)
« Les sentiments ressentis sont diffus et pluriels. A la fois, cette danseuse nous semble épuisée mais sereine, mais aussi elle nous donne l’impression d’une jouissance intérieure… »
(commentaire sur le blog – 2007)
« Oh, bel instrument,
Je t’enserre de mes jambes,
Je pose mes mains sur ta taille ,
Je te pince les cheveux,
Comme on caresse des cordes,
Les va-et-vient de mon archer,
Sur ton ventre creux,
Te donnent envie d’exprimer,
Une musique enivrante,
Qui m’élève, tout léger,
Vers des songes insensés. »
Un musicien sensible à ton dessin
Commentaire sur le blog – 2007
« Que dira le plaisir d’une encre quand elle se laisse glisser sur un papier humide ? Qui dira son envie coquine de jouer, de courir, de se dissiper, puis de se fondre ? Et qui parlera de son bonheur à lui de la recevoir, de la retenir et de la boire ? Qui pourra fixer cette union fulgurante, cet amour étoilé ? Une femme à marée basse qui marche entre le sec et l’humide. La femme… »
(commentaire sur le blog – 2006)